Souvenirs dérobés, vestiges voilés, pensées futiles, lettres ouvertes.....
Passé, présent, réalité, fantasmes....

Ou pas....

20 octobre 2008

La vie est impitoyable pour les rêveurs...

Et rêveuse je suis, la tête perdue dans les nuages, à mille lieux de la terre que foule mes pieds et de ses réalités bassement matérielles…

C’est comme ça que parfois il m’arrive quelques mésaventures générant bien souvent ce que le commun des mortels appelle un « grand moment de solitude ».

Je passerais rapidement sur les épisodes certes risibles mais néanmoins douloureux de faux départ alors que déjà en retard, du type se rendre compte en arrivant à l’arrêt de bus/métro ou autre que je suis partie de la maison en chaussons, voir parfois pire en chaussettes ou pied nue….


Avec un léger titillement tout de même, réminiscence d’un pauvre neurone encore en état de presque fonctionner correctement et tentant en vain de se faire entendre, titillement donc sous la forme d’une de ces fameuses pensés dont le tout un chacun a déjà fait l’expérience (si si j’en suis sure cherchez bien ça a du vous arriver un jour…

Sinon pitié ne me laissez pas une fois de plus dans ma désespérante solitude de l’éternelle incurable tête en l’air et dites oui ou inventer vous un souvenir de cette pensés insidieuse), ce fameux « je suis sure d’avoir oublier de faire un truc mais quoi ? », grand questionnement existentielle entrainant invariablement un flash back des dernières minutes… heures…. Pour trouver LA raison de ce trottinement insidieux de cette question sur laquelle chacun de votre ou vos (pour les plus chanceux) neurone(s) se focalise désespérément dans l’expectative d’une réponse miraculeuse apparaissant soudainement tel le lapin sortant du chapeau de magicien…

Question restant désespérément sans réponse jusqu’à ce que, arrivé à l’arrêt de bus/métro, par je ne sais quel miracle de la physique ma tête tombe en avant, dirigeant mon regard vers mes pieds, révélant soudainement toute l’horreur de la situation, moi, en retard évidement, pieds nue/en chaussons/chaussettes au beau milieu de la rue….

Heureusement parfois, l’hiver, le froid aidant la supercherie est éventé avant d’en arrivé là, quand, sur le pallier un signal d’alarme rugit dans le tréfonds de mon cerveau pour me dire que mes pieds se plaignent de la trop basse température environnante, à laquelle ils ne survivront pas longtemps si je ne me décide pas à la chausser décemment.

Ou encore les faux départ en bus scolaire au collège/lycée lorsque trop absorbée par mes rêveries d’attente du bus, je montais instinctivement dans ledit bus arrivant une fois de plus en retard, avec toujours cette pernicieuse pensée s’infiltrant au travers du nuage de rêverie embrumant mon cerveau pour lui demander si une fois de plus je n’avais pas oublier quelque chose, avec ce même enchainement de flash back pour savoir quoi….

Et là c’est par je ne sais quelle association d’idée ou loi physique, que le démarrage du bus créait un mouvement de tête vers l’endroit où j’attendais quelques minutes plus tôt, faisant tomber mon regard, créant de ce fait une montée d’adrénaline et de panique, sur mon sac resté sur le bas côté seul abandonné sous cet abris bus, tel mamie laissé à la station service de l’autoroute du soleil, ou le chien attaché à l’arbre de la forêt de fontainebleau le jour de départ en vacances….

Hier encore c’est sur le moment du départ que, mon manteau à moitié enfilé, je me suis rendu compte en baissant les yeux pour attacher mes boutons que j’étais encore en… Pyjama….

Je passerais aussi les habituels oubli de clés, badge d’accès du boulot, carte de métro, lumière/radio/télé allumés en partant au boulot et autre oublis type appeler ma mère, achetez du PQ alors que ça fait déjà une semaine que c’est pénurie et que le stock de sopalin est mouru, paix à son âme, et que celui de kleenex est sérieusement entamé, l’oubli pendant deux semaines de la lettre super urgente à poster sur la table du salon alors que la boite aux lettres est juste devant la porte de mon immeuble…

Je passerais aussi rapidement sur la foi où par je ne sais quel miracle de la nature (si si s’en était un !) je me suis réveillée avant mon réveil, toute à l’euphorie de ne pas être en retard pour une fois, puisque généralement mon réveil sonne en moyenne une demi heure à deux heures avant que mes oreilles acceptent de percevoir sa douce mélopée, et qu’une de mes paupières ne daigne se soulever, je prend un petit déjeuner, me douche pendant une bonne demi heure m’habille sans me presser et part à priori à l’heure pour attraper le bus.

Grande première puisque je suis plus souvent adepte du marathon matinal derrière le bus, à jeun, habillée à la quatre six deux, les cheveux dans tous les sens pas peignés et encore humide de la douche prise en un temps record de 15minutes, le manteau à moitié enfilé sur un seul bras, bras qui s’agite au dessus de ma tête espérant désespérément que le chauffeur me remarque finalement au bout de moins de 5minutes (moment fatidique ou je m’écroule morte sur le bitume…), et s’arrête en râlant souvent que « faudrait voir à pas que ça soit tous les jours mademoiselle p’sque l’heure c’est l’heure et que déjà hier il c’est arrêté, et avant-hier aussi et la semaine dernière et les autres précédentes aussi, et que y a pas que vous qui prenez ce bus au cas où vous l’auriez pas remarquer…. », ou du va sonner chez ta voisine pour qu’elle te dépose en voiture en allant bosser par ce que t’as encore loupé le bus (ou bien qu’il a pas voulut s’arrêté pour la 7ème fois en 7 jours…).

Bref ce matin je peux admirer les oiseaux et la nature en allant d’un pas nonchalant à l’arrêt de bus que je n’ai pour ainsi dire jamais fréquenté…
J’arrive même la première ce qui fait deux miracles en une seule matinée, trop beau pour être vrai !

En effet trop beau pour être vrai, puisqu’au bout de vingt minutes d’attente, alors que le bus a déjà dix minutes de retard je suis toujours seule, transi dans le froid, je regarde pour la nième fois l’énorme horloge accroché au mur de la maire en face de moi, il est bien moins vingt et le bus passe à trente.

Perturbée par ce phénomène paranormale je m’interroge, des extraterrestres seraient ils venu dans la nuit enlever toute l’humanité sauf moi ? y aurait il eu une épidémie fulgurante qui aurait réduit à néant l’ensemble de la population ne laissant pour seule survivante que moi ? Serions nous un jour férié, un samedi, un dimanche ? D’ailleurs quel jour on est ? Non pourtant je suis sure qu’on est mercredi, étrange…

Toute à mes interrogation je regarde machinalement, une fois de plus l’horloge il est moins le quart et toujours personne, aurions nous changé d’heure en plein milieu de semaine et au milieu du mois d’avril cette année, et personne ne m’aurait prévenu ?
Je vais encore être en retard et cette fois ce ne sera même pas de ma faute mais qui me croira ?
Serais je en train de rêver au chaud dans mon lit alors que les autres eux attendent réellement le bus à l’autre bout de la rue ?

Alors que je commence sérieusement à m’inquiété, mue par une volonté supérieur je regarde à nouveau l’horloge mais cette fois, l’esprit supérieur qui dirige mes yeux les focalisent sur la petite aiguille celle qui indique l’heure et non pas celle des minutes sur laquelle je m’acharne depuis bientôt une demi heure, et là l’esprit me dit que quelque chose cloche, oui, certes mais quoi ? Il y a un truc qui ne va pas avec cette horloge, qui pourtant est réglé comme une montre suisse habituellement, mon cerveau n’arrive pas encore à déterminer quoi, mais indéniablement quelque chose n’est pas à sa place.

Après 2 minutes de contemplation béate le front plissé sous l’intense réflexion métaphysique qui se joue en moi pour déterminer où est l’erreur, mes deux uniques neurones se percutent enfin et la lumière se fait en moi, ça y est sous mes yeux horrifiés la vérité m’apparaît enfin, il n’est pas huit heures moins dix comme je le pensais mais six heures moins dix….

Je rentre hagarde, encore sous le coup de cette révélation, je n’étais pas là à l’heure mais avec deux heures d’avance….

Arrivé chez moi deux options soit me recoucher une heure, tentant mais risqué, soit m’occuper pendant une heure. La simple vue de mon lit me fait immédiatement opter pour la première solution….

Et une heure et demie plus tard, je cours une fois de plus après mon bus qui démarre déjà au loin….

Je ne m’attarderais pas trop non plus sur mes tentatives de voyage en train ou en avion, grande adepte du « je suis à l’heure je vais pas le louper c’est pas normale si je me faisais une frayeur histoire de me mettre en retard et ne pas faillir à ma réputation de marathonienne du quai de gare, arrêt de bus et terminal d’aéroport » je pars donc régulièrement prendre un train ou un avion en laissant mes billets trôner fièrement sur mon bureau chez moi alors que je suis dans la voiture en direction de la dite gare ou du dit aéroport…

La plusieurs options :

Soit je suis en voiture avec quelqu’un de bien intentionné qui me connaît bien et me demande à mi chemin si j’ai bien mes billets et insiste pour que je vérifie quand même bien que j’ai assuré d’un ton plus que convainquant que « oui évidement que j’ai mes billets ! Tu me prend pour qui ? », demi tour en urgence dès que possible pour retourner à fond la caisse à la maison…. Je ne vous raconterais pas ce que je me suis pris la fois où arrivé à la maison impossible de les trouver par ce qu’en fait si je les avaient finalement mais j’avais pas regarder dans la bonne poche de mon sac à main….

Soit je suis seule et mue par mon ange gardien je suis prise d’un doute et vérifie en chemin que je n’ai évidement pas mes billets…

Dans ces deux cas au mieux je cours derrière mon train ou mon avion….

Soit ni la personne ni mon ange gardien n’on la présence d’esprit de me faire vérifier….
Et là si je suis suffisamment en avance, autant dire 1 fois sur 100, j’en suis pour acheter un deuxième billet et prendre quand même mon train/avion si tant est qu’il reste de la place dedans…
Ou bien je l’ai déjà loupé de toute façon alors bon j’ai le temps d’aller chercher mes billets mes les faire rembourser et prendre le suivant ou pas d’ailleurs.

Cependant parfois il m’arrive de ne pas oublier mes billets et d’être un chouilla en avance à l’aéroport, si si ça m’est arrivé une fois.

J’étais là vingt minutes avant le début de l’enregistrement des bagages, j’avais vérifié j’avais mes billets. Je patiente donc les vingt minutes dans un petit café juste en face de la zone d’enregistrement pour être sure de ne pas me louper.

L’enregistrement des bagages commence, je me mets sagement dans la file avec ma valise qui je le sais fait 25 kilos, pile poil ce qu’il faut au dessus des 20 kilos réglementaire pour ne pas payer les taxes pour excédent de valise….

Le tapis roulant et la jeune hôtesse au sourire figé de papier glacé se rapprochent petit à petit, mon tour arrive je pose ma valise sur la balance/tapis roulant, tend fièrement mon billet à l’hôtesse avec un grand sourire, fière de moi pour ne pas avoir eu à courir en hurlant d’attendre, que j’arrive et qu’il ne faut pas qu’elle ferme…

Elle prend mon billet et là je vois ses sourcils se froncer, prise d’un doute je regarde l’écran au dessus de moi, pourtant si je suis au bon endroit y a marqué Lyon et je vais effectivement à Lyon, à moins qu’il y ai un autre Lyon-Toulouse à la même heure aujourd’hui je suis au bon endroit, alors pourquoi elle a les yeux froncés et me regarde bizarrement ?

Je lui ai quand même pas donné le billet de retour ? Non impossible puisque je ne l’ai pas encore, alors quoi ? C’est là que Lucette toujours interloquée me lance « mais…… c’est pas la bonne date….. votre vol c’est le même mais demain madame… »

J’entends le jeune homme derrière moi retenir péniblement un fou rire et l’ado boutonneuse de la file d’à côté pouffer de rire…

Je reste sans voix, pendant que mon cerveau tente de réfléchir à toute allure « bon dieu mais Claire qu’est ce que t’as encore foutus ! Pourtant tu le savais que tu partais aujourd’hui, mais attend et ton billet de TGV à Lyon il est pour quelle date ? Tu l’as aussi pris pour demain et t’es débile profonde d’être là aujourd’hui ou tu l’as bien pris pour aujourd’hui LUI auquel cas si tu peux pas prendre l’avion aujourd’hui tu l’as dans le c** profond pour demain quand tu arriveras à Lyon…. Et puis si tu peux pas prendre l’avion aujourd’hui tu va faire comment ce soir ? Tu va dormir où ? »

Je la regarde paniquée bredouillant des choses inintelligible dont j’ignore moi-même la signification, attrape le billet qu’elle me tend regarde et constate qu’effectivement la date est celle du lendemain…

Fébrilement je fouille mon sac à main à la recherche de mon billet de TGV, les larmes aux yeux alors que ce ne sont plus deux personnes qui rigolent derrière moi mais une bonne vingtaine d’individus qui poussent du coude en racontant ma mésaventure à leurs voisins qui ne tardent pas à se joindre à l’hilarité générale.Je le trouve finalement et complètement paniqué constate que lui est daté d’aujourd’hui…

C’est le début des vacances et ça fait un mois au moins que tous les TGV au départ de Lyon sont complets donc si je n’ai pas celui là je n’ai aucune chance d’en avoir un avec une place libre demain…

Elle m’interroge du regard mi compatissante mi prête à rire avec les autres, j’arrive péniblement à articuler un « je fais quoi maintenant ? » plus pour moi-même que pour elle.
Finalement elle me prend en pitié et me propose de prendre mon nom au cas où il resterait des places à la fin de l’enregistrement elle me fera passer avec mon billet de demain. Elle me demande de rester à porté de voix.

S’engage alors une interminable attente dans l’angoisse, il ne faut pas que je loupe son appel si par miracle il restait une place, et en même temps mon cerveau ne cesse de penser à autre chose « comment j’ai pu acheter deux billets dans la même agence de voyage au même moment et demander deux dates différentes alors que je savais pertinemment qu’il me les fallait pour le même jour ? Qu’est ce que je vais faire et comment si jamais il n’y avait pas de place dans l’avion ? Je ne peux quand même pas rappeler ma cousine qui c’est déjà farcie une heure de route aller puis une heure retour pour m’amener à l’aéroport, pour lui dire de revenir me chercher par ce que finalement je pars que demain…. Et puis si je part demain comment je vais faire pour mon TGV, je vais quand même pas appeler ma mère pour lui demander de faire deux heures et demi de route demain pour venir me chercher à l’aéroport à Lyon alors que je suis sensé arrivé en TGV ce soir à la maison……. »

Je suis perdue dans mes réflexions quand je me rend compte que l’embarquement est terminé et que, à mon grand damne, je ne suis pas la seule à espérer qu’il reste de la place dans l’avion…

L’hôtesse arrive, annonce qu’il ne reste que cinq places, on doit être une bonne dizaine autour d’elle, l’angoisse reprend alors le dessus quand le premier, le deuxième, le troisième puis le quatrième nom appelé ne sont pas le miens, j’ai encore les larmes aux yeux et mon corps tremble lorsque l’hôtesses s’apprête à appeler le dernier nom…. Le miens….

Non je ne m’attarderais pas sur ces histoires là par ce qu’aujourd’hui je voulais parler de ma dernière gaffe, de celle qui a du faire un heureux.

Je ne m’étendrais pas sur cinquante pages non plus puisque l’histoire est courte, et bien que les autres ne soient pas anodines celle là est à mon sens la plus pitoyable.Ce jour là et depuis plus d’une semaine je me trimballais sans un sous en poche comme bien souvent, malgré les recommandations incessante de tout le monde comme quoi il faut toujours avoir au moins 5 euros sur soi au cas où…

Oui mais moi j’aime pas avoir des sous sur moi, et en plus de toute façon si j’en ai je finis toujours par les dépenser inutilement pour acheter des conneries, où au moment de payer tu trouve toujours des milliers de raisons meilleures les unes que les autres pour acheter cette merveille dont je n’aurais jamais l’utilité et qui finira à prendre la poussière au fin fond d’un placard, alors qu’une fois dehors je n’arrive même plus a savoir pourquoi je l’ai acheté et quand je vais bien pouvoir m’en servir…

Alors que si mon porte monnaie est vide pas de tentations, quoique….

Bref, forte d’une nième remonté de bretelle et de leçon sur le bienfondé d’avoir toujours du liquide sur soi, de l’importance du billet de 20 en cas de taxitage urgent ou de sortie baresque de dernière minute, ou encore de dévalisage de pharmacie de dernière minute, et autres raisons toutes plus sages les unes que les autres, je me décide à aller au DAB pour tirer l’un de ces salvateur billet bleu.

Me voilà donc partie armée de ma carte bleu, vers le DAB la poste (traduction ça va encore me couter un euro de tirer 20 euros puisque je suis à la BNP, qu’il y a pas de distributeur BNP dans le coin et que chez eux faut retirer dans les DAB BNP sinon au bout de cinq retrait chez une autre banque faut payer par ce que tous les moyens sont bons pour te piquer un euro… Si si même à mon guichet BNP de MA banque où que j’ai MON compte ben faut que je paye 5euros pour retirer de l’argent et si je suis pas contente j’ai qu’à utiliser le DAB dehors qu’est en panne et pis c’est tout!) j’introduis ma carte, jusque là tout va bien.

Je me trompe une fois dans mon code que j’ai fais à l’envers par ce que retenir quatre chiffres c’est dur mais les retenir dans le bon ordre c’est pire, je me suis déjà fais avaler plusieurs fois ma carte comme ça, j’avais le bon quarté…. Mais dans le désordre…

Bref après un premier essai infructueux, je me concentre correctement pour taper tous les chiffres dans le bon sens et y arrive enfin.

Je sélectionne 20 euros un ticket oui s’il vous plaît, attend récupère et range mon bazar et m’en vais.

C’est une fois arrivé chez moi que prise d’un doute affreux je vérifie dans mon porte feuille que j’ai bien récupérer ma carte, oui elle est là avec mon ticket mais pas le billet, tiens bizarre, je l’aurais rangé ailleurs ?

Non je l’ai tout bonnement oublié sur le distributeur, j’ai bien pris le ticket et ma carte sortis en premier du distributeur et je suis partie comme une fleure sans attendre que le billet sorte lui aussi…

J’y suis retourné quand même au cas où on peut toujours rêver… J’aurais au moins fait un heureux ce jour là de la personne passée derrière moi…

Titre extrait de La Fuite immobile de Gilles Archambault

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Ben... si tu te trimbale pieds nus dehors de ce temps la, c'est pas étonnant que t'a tous les Myxovirus Influenzae de la terre et même de l'univers connu, à tes trousses !!!

La Musaraigne Etoilée a dit…

mdr meuh non ça s'attrape pas par les pieds mêmes nues quand y fait -20° la grippe... mais bon certes après je peux pas râler si j'ai chopé froid....

:)) ;)) ;;) :D ;) :p :(( :) :( :X =(( :-o :-/ :-* :| 8-} :)] ~x( :-t b-( :-L x( =))

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